Love Hina - Ken Akahatsu


Resumé :
Keitaro Urashima vient de rater pour la deuxième fois son examen d’entrée à l’université de Todai. Il doit se trouver un job. Heureusement, sa grand-mère Hina lui lègue sa place de responsable dans une pension de famille occupée par des jeunes filles toutes plus excentriques les unes que les autres. Keitaro va-t-il réussir à concilier son travail avec sa vie d’étudiant ? Comment va-t-il réagir face à toutes ces jeunes filles ? Et, surtout, arrivera-t-il à tenir la promesse qu’il fit à une petite fille de son âge de rentrer ensemble dans cette prestigieuse université afin de couler des jours heureux ?

Mon avis :

Ce manga comporte 14 tomes et est actuellement fini. Éditer aux Éditions Pika, il y a aussi eu une adaptation en animé. Manga connu, mais que je n’avais jamais vraiment pris le temps de lire. Un manque dans cette culture nippone vraiment indispensable ?

L’histoire nous retrace l’arrivée de Keitaro à Tokyo. Il y vient dans l’espoir de pouvoir être logé chez sa grand-mère qui y tient une auberge et ainsi pouvoir prendre un nouveau départ et réussit enfin son entrée dans la prestigieuse université de Todai. Keitaro a déjà échoué deux fois, mais il ne perd pas espoir et espère ainsi pouvoir y entrer et au passage retrouver son amour de jeunesse, avec qui il a promis d’y aller plus tard. Sauf que malheureusement pour lui, il ne connaît plus son prénom, et seule l’image de la petite fille a été conservée par son esprit. Autre détail assez embêtant, Keitaro se retrouve le gèrent de l’auberge… Enfin qui n’en est plus vraiment une. Sa grand-mère en a fait une maison pour jeune fille, et c’est donc un groupe de jeune fille assez déjanté qu’il aura a géré, en plus de ses études !

Ce manga est, si j’ai bien compris, un mastodonte et un pionné dans son genre. En effet, il date de 1999 et semble donc est, je pense, la série qui a inspiré tout ce qui est dans le style de Nisekoi, ou encore Suzuka, A town where you live Love Hina nous place donc dans la traditionnelle histoire d’amour du a une promesse partiellement oublier. Un genre assez particulier quand l’on y réfléchi et qui laisse deviné facilement la fin de la série au lecteur, sauf si l’auteur se révèle sadique. On se pose ainsi les questions traditionnelles qui n’échappent pas au genre, à savoir, es-ce que Keitaro va réussir à tenir sa promesse et rejoindre Todai ? Va-t-il y retrouver la petite fille de la promesse ? Mais surtout, vont-ils finir ensemble ?

Indispensable dans sa culture ? Oui et non. Si l’on a lu beaucoup d’histoire de ce style, ce n’est qu’une n-iemes du même genre, SAUF que Love Hina semble être, sauf tromperie de ma part, l’une des de ces séries comme Dragon Ball, à avoir lancé et démocratisé le genre. C’est plutôt donc cet aspect « historique » qui rend donc la lecture de cette œuvre indispensable !

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6 commentaires

  1. love hina, c'est coooooool.
    bon, au bout d'un moment, ça devient un poil répétitif, commes toute les séries de ce genre, mais heureusement, l'auteur a eu l'intelligence de ne pas trop étirer sa série..
    ah ah, dire que moi je l'ai lu au fur et à mesure de sa parution.. ça ne me rajeunit pas :'(

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  2. Oui, cela deviens un peut répétitif par moment :/ Mais c'est un peut le genre qui veux cela aussi je pense :/

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  3. AAAAAAH j'adorais Love Hina quand j'étais plus jeune, faudrait que je m'y remette ^^.
    Bisous JeanMad :p

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    1. Oui, il faut finir cette saga :)
      Haha, ce surnom va me poursuivre xD

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  4. Ah lala, ça fait longtemps que j'ai lu cette série et même si j'avais beaucoup aimé, sur la fin je l'avais trouvée un peu lassante et répétitive.
    Après, comme tu le dis, c'est une base qu'il faut au moins avoir lu une fois :D

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