Résumé :
Six Clans dirigent la Cité. Chacun possède une Magie qui commande aux éléments ou aux êtres vivants. De leur union dépend l’équilibre. C’est pourquoi durant la Fête des Échanges, les adolescents sont soumis à des épreuves, en vue d’être initiés. Parce qu’elle a échoué, la jeune Érine est bannie, loin de sa famille et de son Clan. Condamnée à survivre dans la zone d’exil, elle va bientôt découvrir le sombre secret de la Cité. Et le terrible complot qui menace de la détruire.
Mon avis :
Après avoir pu lire les 3 tomes de la trilogie des aventures
de Saskia dans « Le livre de Saskia » et ayant pu rencontrer l’auteur
qui fut d’une gentillesse sans égale, c’est avec plaisir et une grande hâte que
je me suis lancé dans une autre de ses œuvres quand j’ai vu qu’elle était présente
pour une séance de dédicace pas loin de chez moi. Verdict ? Le même
plaisir lors de la lecture de la Trilogie de Saskia était-il de nouveau au rendez-vous ?
L’histoire nous place cette fois-ci au sein d’une cité régie
par 6 clans. Ils possèdent tous leurs spécialités qui peuvent aller de la
plantation, à la médecine, ou encore au dressage des animaux. Parmi eux se
trouve une septième classe qui est tout simplement les « Orklas »,
qui sont comme leur nom l’évoque des personnes exilées des clans. Nous suivons donc
Erine, une habitante des Orklas (mais qui possède quand même un logement privé,
ce qui est un privilège rare !) ainsi que le jeune Arkadi. Notre héroïne a
pour métier obscur de déterrer les cadavres pour ensuite les revendre à une mystérieuse
personne inconnue. Les problèmes commencent pour notre binôme lors de l’initiation.
En effet, chaque enfant de 16 ans doit passer par cette étape : ils ont
alors le choix de rester au sein du clan qui les a vus naître, ou alors de demander
leurs mutations. Naria, fille du chef des guérisseurs va demander son
changement de clan au court de la cérémonie, ce qui va provoquer pas mal de remous
au sein de la cité. Pourquoi une enfant d’un des chefs veut partir de son
clan ? De plus, la cité est bouleversée par une vague d’épidémie de mort dû
à un mystérieux baume. Quel secret cache en réalité cette cité ainsi que les
clans ? D’où vient cette épidémie ? Par qui est-elle lancée ?
Mais surtout pourquoi ?
Bien que les deux univers ne se ressemblent pas, je ne pourrais m’empêcher de comparer « La Fille-Sortilège » avec ma lecture de la trilogie de Saskia. J’avais adoré la lecture de la trilogie, et autant être direct, cela fut aussi le cas pour ce roman. À nouveau, on retrouve un récit maîtrisé, clair et précis. L’histoire en elle-même est complète, on part d’un point A pour finir à Z, sans oublier aucune lettre de l’alphabet. En tant que lecteur, tout nous est expliqué et personnellement, la tâche la plus compliquée a été, comme d’habitude pour moi, de retenir les prénoms. On sent que l’auteur sait où elle veut aller et cela fait plaisir. Durant tout le récit, on est impatient de savoir quel est ce secret enfouit par la cité, pour quelle raison et pourquoi. On apprend de plus les évènements en même temps que l’héroïne ce qui renforce l’immersion dans la trame de l’histoire.
La plume de Marie Pavlenko en reste inchangée, et c’est toujours avec toujours autant de plaisir et de hâte qu’on retourne lire les lignes qui composent cette nouvelle histoire. En soi, bien que le contexte est diffèrent de la trilogie de Saskia, j’ai trouvé cet ouvrage bien plus mature, moins jeunesse. Peut-être que cela est dû aux thématiques par la cité qui donne un aspect « politique » et un conflit plus fermé et étouffé qu’on pouvait chez les Endikars.
Bien que les deux univers ne se ressemblent pas, je ne pourrais m’empêcher de comparer « La Fille-Sortilège » avec ma lecture de la trilogie de Saskia. J’avais adoré la lecture de la trilogie, et autant être direct, cela fut aussi le cas pour ce roman. À nouveau, on retrouve un récit maîtrisé, clair et précis. L’histoire en elle-même est complète, on part d’un point A pour finir à Z, sans oublier aucune lettre de l’alphabet. En tant que lecteur, tout nous est expliqué et personnellement, la tâche la plus compliquée a été, comme d’habitude pour moi, de retenir les prénoms. On sent que l’auteur sait où elle veut aller et cela fait plaisir. Durant tout le récit, on est impatient de savoir quel est ce secret enfouit par la cité, pour quelle raison et pourquoi. On apprend de plus les évènements en même temps que l’héroïne ce qui renforce l’immersion dans la trame de l’histoire.
La plume de Marie Pavlenko en reste inchangée, et c’est toujours avec toujours autant de plaisir et de hâte qu’on retourne lire les lignes qui composent cette nouvelle histoire. En soi, bien que le contexte est diffèrent de la trilogie de Saskia, j’ai trouvé cet ouvrage bien plus mature, moins jeunesse. Peut-être que cela est dû aux thématiques par la cité qui donne un aspect « politique » et un conflit plus fermé et étouffé qu’on pouvait chez les Endikars.
En conclusion, un tome unique qui confirme le coup de cœur
pour les histoires écrites par Marie Pavlenko. Si vous avez aimé la trilogie de
Saskia, je ne peux que vous conseiller d’aller vous procurer aussi « La
Fille-Sortilege », vous n’en serez pas déçu. Pour ceux qui ne les ont pas
lus, foncez aussi !
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