Résumé :
À Ikebukuro, les gangs, les gens étranges et les légendes urbaines sont monnaie courante...
Mikado Ryûgamine, un lycéen d’apparence banale et sans histoires, est invité à s’installer dans le quartier tokyoïte d’Ikebukuro par son ami d’enfance.
Son souhait le plus cher est de vivre des aventures extraordinaires et de découvrir l’ambiance des grandes villes !
Avec un type violent habillé en barman, un informateur fauteur de troubles, des vendeurs russes de sushis, le mystérieux gang des Dollars et une motarde sans tête qui rôdent dans le quartier, Mikado est loin de se douter que sa vie va prendre un étrange virage à 180 degrés...
Mon avis :
Mikado Ryûgamine vient de
déménager dans la ville de Tokyo et plus précisément dans le quartier d’Ikebukuro.
Le jeune homme rêvait d’aventures et son passage de la campagne à la ville est
donc le premier pas vers cela. En effet ce quartier est connu pour être au
centre des affrontements de gangs. Une zone de conflit perpétuel entre les
gangs de diverses couleurs, mais aussi la diverse rumeur sur les « Dollars »,
un groupe puissant, invisible et caché dans l’ombre. Presque une légende. Mais
Ikebukuro cache aussi un soi-disant motard sans tête, et d’autres personnages
qu’il ne vaut mieux ne pas fréquenter si l’on ne veut pas être impliqué dans
des problèmes. C’est accompagné de son ami Masaomi Kida que notre jeune héros met
les pieds dans ce nouveau monde, un univers à l’exacte opposé de tout ce qu’il
connait. Saura-t-il s’y adapter ? Que lui réserve ce nouveau départ ?
Si je devais coller qu’une seule étiquette à Durarara, cela serait l’expression « What the fuck ?! ». En effet l’univers est complètement tiré par les cheveux, mais en même temps riche et complet. Comme dit plus haut en introduction, Durarara est un joyeux bordel organisé et structuré. Pour en savoir un peut plus que ce premier tome grâce à l’animé, tout ce bazar sert vraiment l’histoire.
Si je devais coller qu’une seule étiquette à Durarara, cela serait l’expression « What the fuck ?! ». En effet l’univers est complètement tiré par les cheveux, mais en même temps riche et complet. Comme dit plus haut en introduction, Durarara est un joyeux bordel organisé et structuré. Pour en savoir un peut plus que ce premier tome grâce à l’animé, tout ce bazar sert vraiment l’histoire.
En conclusion, si vous voulez un
univers décalé, un peut foufou, mais qui possède une histoire riche et surprenante,
je ne peux que vous conseiller de tenté Durarara, nous n’en serez pas déçu. Pour
ma part, j’ai hâte de pouvoir redécouvrir la suite de cette série et de voir
jusqu’où ce quartier est atteint par la folie !
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