Résumé :
Une injection. Sept minutes pour accéder au subconscient d’Emily Scott. Un carnet pour décrypter ses visions fantasmagoriques. Quelques jours pour empêcher le pire.
Mon avis :
Voulant la dédicace de l’auteur, Henri Loevenbruck, au Salon du livre et faute d’avoir reçu mon tome de La Moïra, c’est vers le tome 1 de Sérum que c’est porté mon choix, sans trop connaitre l’histoire, ce qui valait vraiment. Verdict ? Bon ou mauvais ?
Il faut savoir pour commencer que la Saga Sérum se décompose d’une manière assez inhabituelle. Le livre est découpé en Saison comme une série, et chaque saison comporte 6 tomes. Dans ce premier tome, on suit le parcourt de la détective Lola Gallagher, qui a un nouveau dossier dans les mains : Comprendre qui est la personne sur qui l’on a tiré une balle en pleine tête dans le parc de Fort Greene, et surtout qui. Cette femme est Emily Scott, mais malheureusement pour notre détective, elle ne se souvent que de son prénom, elle a oublie tout le reste et il ne lui reste donc aucun souvenir sur cette fameuse nuit. Aucun détails pour aider notre jeune détective, et c’est donc sans autre solution qu’elle fait appel au Docteur Draken, qui est réputé comme le meilleur psychiatre, pratiquant des honoraires élever, mais donc le travail porte ses fruits a chaque fois. Effectivement, Draken obtient plein d’éléments grâce à l’hypnose. Mais cela suffira-t-il pour comprendre le mystère qui entoure Emily Scott ?